L’été est souvent propice à la prise de recul, à la prise de conscience qu’il faut changer des choses dans son mode de fonctionnement, ses relations, son approche du travail…

Décider de changer

Bien souvent, les décisions de changement prises à la fin du mois d’août ne passent pas l’automne et disparaissent aussi vite que le bronzage estival.

Des décisions trop générales

Trop généralistes et pas assez concrètes, les décisions prises à la fin de l’été sont rarement suivies d’effet. Exemples : à la rentrée je fais du sport, je consacre plus de temps à ma famille, il faut que je fasse plus d’entretiens avec mes collaborateurs…Même si l’intention est louable, la formulation, trop généraliste, n’incite pas à un vrai engagement.

Il est plus efficace de prendre une décision du type : à la rentrée je vais courir deux fois une heure par semaine, je quitterai le travail avant 18h30, je rencontre chaque collaborateur une fois par mois. Même si ce n’est pas magique, cela facilite la mise en œuvre.

Deux critères indispensables

Au-delà de la formulation, il y deux critères pour que cela fonctionne :

Quel rapport avec le leadership ? Nous demandons souvent à nos collaborateurs d’évoluer, mais nous ne leur montrons pas toujours un modèle de personne capable de changer. Une réelle mise en œuvre d’un changement de pratique, d’habitude, sera un encouragement discret mais efficace à ce que nos collaborateurs changent également. Voilà une autre motivation pour changer. Bonne rentrée.